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Amaya octroie l’extension de CryptoLogic

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Le spécialiste de jeux d'argent sur serveur et sur réseau Amaya Gaming Group a été accordé une prolongation afin de terminer son projet de reprise du développeur de jeux de casino en ligne CryptoLogic Limited pour 34,5 millions $ en espèces.

Amaya à Montréal révélé à la mi-décembre qu'il avait conclu un accord de principe pour acquérir toutes les actions en circulation de CryptoLogic, mais le délai initial pour l'achèvement de la transaction fixé par le City Code on Takeovers and Mergers a expiré hier.

Amaya a déclaré qu'il demandé à l’administrateur indépendant du Panel on Takeovers and Mergers une extension à son projet de rachat et a maintenant été donnée jusqu'au 2 Février pour décider si elle va faire une offre ferme pour CryptoLogic.

L'année dernière a vu Amaya acquérir lentement une participation de sept pour cent de CryptoLogic avec le projet de rachat valorisant les parts dans la société à Dublin, à 2,50 $ chacune, ce qui représente une prime de 52 pour cent sur le prix de clôture du 14 décembre de 1,64 $.

Pour aider à financer l'achat possible, Amaya a auparavant conclu un accord pour vendre 20 000 bons de souscription spéciaux valant 19,25 millions de dollars à la Canaccord Genuity Corporation tout en octroyant additionnellement à la firme bancaire d'investissement une option de 3000 sur-allocation.

«Cette annonce n'est pas une annonce d'une intention ferme de faire une offre conformément à la Rule 2.7 du City Code on Takeovers and Mergers et il peut y avoir aucune certitude qu'une offre sera faite », lu dans une déclaration d'Amaya publié hier.

Le congrès tiendra une deuxième audience dans les jeux en ligne

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Plus tard aujourd'hui, la Chambre des représentants américaine tiendra une deuxième audience en autant de mois dans la possibilité de réglementer le jeu en ligne via son sous-comité du commerce, de la fabrication et du négoce.

Le sous-comité de 23 membres fait partie du Comité de l'énergie et du commerce et sa première audience dans le jeu en ligne a eu lieu le 25 octobre et a discuté du projet de loi HR 2366 du député Joe Barton.

L'audition d'aujourd'hui entendra le témoignage des collègues représentants et partisans des jeux en ligne légalisés Barney Frank et John Campbell avec les républicains de la Virginie Frank Wolf et Mark Lipparelli, président du conseil de régie du jeu du Nevada. Frank Fahrenkopf, président de l’American Gaming Association, Charles McIntyre, directeur exécutif de la Commission des loteries du New Hampshire et Rachel Volberg, chercheur scientifique général à l'Université de Chicago, prendra également part aux discussions devant se concentrer sur la régulation des jeux sur Internet aux États-Unis.

Hier a vu le Comité des Affaires du Sénat indien tenir une audience semblable montrant un témoignage de l'ancien sénateur Alfonse D'Amato, président du groupe de plaidoyer politique Poker Players Alliance (PPA), et des représentants tribaux.

«Avec trois audiences du Congrès sur le jeu sur Internet en quelques semaines, il est clair que cette question se réchauffe et l'élan est bâti pour faire réagir le Congrès», a déclaré Michael Waxman de Safe and Secure Internet Gambling Initiative.

«La règlementation offre la seule possibilité de protéger les consommateurs et de capturer les emplois et les avantages économiques qui sont actuellement perdus pour les opérateurs de jeux offshore.

Les actes d'accusation récentes des opérateurs de poker en ligne offshore démontrent clairement que la tentative du gouvernement américain d'interdire le jeu sur Internet est un échec et une erreur. Les américains qui continuent à jouer en ligne sont vulnérables à l'exploitation, n'ont pas de garanties de sécurité sur leurs fonds et sont laissées sans recours légal facilement disponibles.

« Nous espérons que l'attention accrue à partir de ces audiences feront pression sur le Congrès d'agir rapidement sur cette question. »

Source casino internet

problème des jeux d’argents en France

La baisse de 20% du chiffre d’affaire enduré par le secteur du jeu d’argent, déjà durant ces trois dernières années, est réitérée par la toute nouvelle correction judiciaire, qui implique en ce moment trois casinos français. Il s’agit du casino de  Châtelguyon (Puy-de-Dôme), de Gruissan et de Port-la-Nouvelle (Aude), casinos regroupés dans l’association française de casinos et où l’on dénombre 167 employés. Ce redressement judiciaire est causé par un problème issu d’un désaccord de la holding avec ses créanciers. Une démarche a été suivi et accompli par le tribunal de commerce de Paris, jeudi dernier, évoquant ce redressement, et accordant quatre mois à ce groupe de casinos, en vu d’une renégociation concernant sa dette.

D’autre part, le groupe Partouche a aussi eu sa part de problème. L’un de ses casinos a été mise en état d’ordonnance de paiement par le tribunal de commerce de Nice. Il s’agit du casino de Beaulieu (Alpes-Maritimes). Le groupe a récemment retiré 77,45 millions d’euros lorsqu’il a procédé à une augmentation de capital, précisément, en vu d’une réduction de dette et d’une augmentation de fond.

Il s’agit en fait, d’une crise qui ne se limite pas sur les casinos terrestres de la France, mais atteint aussi la municipalité puis l’Etat lui même, à cause du pourcentage pour les prélèvements fiscaux sur le produit brut des jeux, qui s’élève à 15% pour la commune, et à 85% pour l’Etat.

Les problèmes de ces groupes de casinos, sont causés par la persistance de la crise économique en France qui implique une difficulté dans la reconstruction ou la rénovation des vielles établissements ; il y a aussi la loi qui exige les zones non fumeurs dans les locaux des holding, et des fois, c’est dans toute la maison de jeu qu’il est interdit de fumé. Donc les joueurs fumeurs n’ont pas leurs places dans ces casinos, ce qui pourrait très bien impliquer une chute du chiffre d’affaire. Les sites de jeux d’argent en lignes sont aussi une des facteurs de problème de ces groupes, car ils pourraient se concentrer dans ce domaine virtuel, et ne pourraient pas rehausser leurs difficultés dans les casinos terrestres.

Au sujet du produit brut des jeux (PBJ), c’est-à-dire la différence entre mises et gains des joueurs et  équivalent du chiffre d’affaires, 197 casinos Français employant 18 200 personnes ont connu une baisse de 4% au cours du début de l’exercice du novembre 2009-octobre 2010. D’ailleurs, leurs PBJ ne cessait pas de diminuer de l’année 2006 à 2009. Durant ces trois années d’exercices, il était respectivement de : 2,8 milliards, de 2,55 milliards et de 2,3 milliards d’euros. Remarquons que ces casinos mettent à la disposition de leurs clients 22 000 machines à sous et des variétés de jeux de tables comme la roulette, le black-jack, le poker… .
Pour les petits opérateurs indépendants français, le fait de ne pas pouvoir apporter une reconstitution dans leurs fonds propres constitue la base du problème, ce qui n’est pas le cas des grands groupes, à cause de leurs système de recouvrement pour les casinos déficitaires. Seul les casinos qui ont pu rénover leurs établissements, ne sont pas touchés par ce problème, ce qui fait que les plus faibles sont les premiers cibles de la crise. C’est une information issue d’une interview de l’AFP auprès du directeur du groupe éponyme de la France, Georges Tranchant. Encore selon Georges Tranchant, la concurrence illégale domine dans le monde des casinos terrestres en France, cela est prouvée par l’existence  de plusieurs casinos dans une ville (Cannes) ou dans une même zone géographique. La crise pourrait non plus persister car beaucoup de personnalité exploitent ce domaine, vu le nombre des casinos terrestres en France.

Malgré cette difficulté, de nombreux groupes de casinos procèdent à poser des barrières à la crise. Entre autres le groupe Partouche, Barrière, Tranchant, Joa et Indépendants. Ils mettent en jeux des cagnottes plus importants dans des machines à sous reliées. Jusqu’à maintenant, la cagnotte le plus élevée vaut  5.512.448 euros. D’autre part, le monde du casino français mène une négociation avec le ministère du Budget, en vu d’une obtention des aménagements fiscaux.